Les animaux de "compagnie"

Nis

Jument alezane d'Axel. Intelligente, rapide, amusante et câline, elle peut être aussi gourmande, coquette et peureuse. Une compagne idéale pour les voyages en solitaire. Dix chapitres ont été inventés sans elle parce qu'Axel devait se réfugier dans un arbre. Quand il a fallu que je crée obligatoirement un cheval, elle devait être suffisamment fidèle et dégourdie pour détaler toute seule sous un ordre. Je crois qu'elle doit beaucoup à la relation qu'il y a entre le prince Philippe et son cheval dans La belle aux bois dormant de Walt Disney. En fait, plus j'y pense et plus je m'aperçois que ce film a frappé mon enfance (trois fées, une relation entre maître et cheval particulière, une rencontre merveilleuse dans un bois, une tête de dragon sur un long cou absurde, une prince parfait, l'épée de vérité...).

San

Un loup qu'Eléa a soigné un jour et qui lui est resté attaché. Il est distant et sauvage sauf avec Sten. Ce dernier est-il trop grand et trop gentil pour que le loup aime à aplatir au sol ? Il prend déjà un malin plaisir à faire tomber Axel dès qu'il le peut… Il devrait faire attention à ne pas trop s'approcher des hommes.

J'espère que vous ne la trouvez pas trop trouble.

Grâce à un salon de dédicace à Guéret, j'ai eu l'occasion de visiter de près le parc des loups de Chabrières. Avec Henri Loevenbruck, nous avons observé ces fabuleux canidés (et fait des photos que je ne retrouve pas !). Si une histoire avec des loups vous intéresse, je vous conseille son cycle La Moïra, mais je suis sûre que vous connaissez déjà ;-).

Le Pavallois

Inspiré d'un tableau chez ma grand-mère.

Animal on ne peut plus prétentieux et vaniteux, qu'il ne faut surtout pas complimenter si on veut qu'il obéisse. Supposé porte-bonheur parce que natifs de Pandème, cet oiseau est surtout doté d'un instinct digne des plus fins limiers pour retrouver ses maîtres. Il sert de courrier.




Le bestiaire original

Je ne sais pas me servir de monstres qui ne m'appartiennent pas comme dragons, orcs ou autre créatures. Il a donc fallu en inventer ;-)

Les varans des Brumes Infernales

J'aime les reptiles, comme les grenouilles. Au risque d'épouvanter certains, j'aime leur contact de peau (très douce !), leur regard toujours défiant, leur vivacité, ce qui fait que les gens les croient foncièrement méchants. J'ai un peu l'impression de trahir la biologie en les mettant bêtement du côté des vilains pas beaux, mais je sais que la majorité des lecteurs ne peut les voir autrement. Pourtant, si vous voyez l'air nounours pataud des Varans de Thaïlande ou de Malaisie (1m50 à peu près), en serpillière sur une branche ou marchant lourdement sur une plage désertique, ils sont adorables !

Les amalyses

Elles sont nées de ma folie des sandales à lanières. Quasiment toutes mes histoires en ont (pareil pour les cuissardes !). Cette fois, elles se sont mises à bouger...

Les charatons

Sale tête, n'est-ce pas ?



Des petits démons de la Forêt Obscure. De la taille de rats, trois rangées de dents pour chaque gueule, ils sont intelligents et extrêmement agressifs. Mais ils sont aussi extrêmement gourmands des aeclives ; ils peuvent obéir en tout et se tuer entre eux pour en avoir un de ces fruits.

Les sariclès

Il fallait bien mettre quelque chose dans les douves !

Les Opalines

Mes petits amours, échappatoire à des exos de biochimie.

Rien ne s'accrochait à cette créature et j'ai fait les anneaux sans réfléchir. Quand ma voisine s'est penchée sur le dessin pour me demander ce que représentait le bout de fil qui dépassait, j'ai répondu sans réfléchir que c'était le fil de sa vie qui se déroulait. ce n'est qu'après que j'en ai fait des êtres immortels malgré tout.

Le Monstre de la Forêt Interdite

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