Issus de l'école de l'Acier, les guerriers de l'Acier sont à la fois juges et policiers, élevés dans un carcan de droiture et de justice. J'ai essayé d'employer un maximum de vocabulaire militaire pour eux.

Les guerriers de l'Acier sont habillés d'un pagne qui leur arrive à mi-cuisse, ou d'une tunique de même longueur (en gros comme Thorgal ;-)). Seul le grand chef porte une tunique longue et un manteau fin. Ils sont bien souvent vêtus de cotte de maille et de casques malgré la chaleur. Les piercings d'acier sont leur apanage et plusieurs guerriers sont également tatoués. Mais ce qui les caractérise le plus, c'est le maquillage de guerrier qui reflète leur grade.

Leurs armes sont toutes de poings (cimeterres, couteaux courbes, poignards, massettes, haches, masses d'armes, épieux courts ou longs, boucliers à pointes). Les lances sont utilisées contre les créatures de Terre de Sel. Il n'y a pour ainsi dire pas d'arcs et de flèches sur l'archipel puisque l'Acier n'est invincible qu'au contact ou presque de la peau humaine (Pas la peine de me dire qu'avec des gants les sorciers peuvent toucher l'acier, la Magie diffuse à travers le tissu, na !).

Une sorte d'aura émane du corps des guerriers lors de combats, comme si l'Acier avait pénétré le sang de chacun au fil des années ou des générations, et qu'il dégageait son Invincibilité en cas d'attaque. Mais seuls les guerriers en ont conscience et le voient. Certains peuvent se reconnaître ainsi selon la puissance qu'ils dégagent.

Les guerriers de l'Acier savent tous chevaucher un fouliour, puisque l'école a une escadrille provenant des élevages des sorciers majeurs assignés près du Mont de feu. Le maniement de ces animaux fait partie de l'enseignement durant les différents niveaux des classes.

Pour finir, ils ont une solde assez ridicule s'ils sont attachés à une caserne puisqu'ils sont nourris et blanchis par leur institution. La solde commence à être vraiment intéressante qu'au grade de Capitaine. Pour les guerriers itinérants, leur principal revenu provient des procès assez récents qu'ils peuvent présider dans des villages saisonniers et des dons de nourriture ou de logement qu'on leur fait en échange d'une détaxation suite à leur passage.