Légendaire 2000

Idée de septembre 95. Ecriture du 10 août 98 au 27 août 98. Publié en 1999.

Indirectement, ce texte prend sa source dans Leïlan. Etonnant, n'est-ce pas ? Les deux mondes n'ont aucun rapport, les deux histoires non plus. Leurs liens sont anecdotiques, mais je ne peux l'expliquer ici sans gâcher les lectures... (et avec le temps, j'ai oublié alors ce n'est plus la peine de me questionner dessus ;-))

Si j'avais respecté l'idée de base, Aldéric aurait été un gentil chevalier. Mais au moment où j'ai voulu commencer l'écriture, je n'ai pas pu tomber dans cette banalité. Contrairement à ce à quoi que je m'attendais, tout a coulé très vite : treize jours pour arriver aux derniers tournants du texte. Puis un gouffre s'est ouvert pour la fin ! Cinq jours pour la cracher ! Charles m'a influencée autant que L'Oriel.

C'est mon texte préféré pour l'instant, le plus abouti, sans maîtriser complètement mes personnages, je maîtrisais beaucoup plus l'écriture de ce texte, sa longueur, ses effets. J'espérais qu'il plaise, je ne m'y attendais pas à ce point-là :-). Il existe en version numérique.

Un plus sur les personnages ou sur les plans

L'illustrateur de cette couverture est Didier Graffet (son site est sublime). Mais Julien Delval m'a offert un cadeau magnifique pour ce premier texte publié : une très belle illustration des principaux personnages. Retrouvez cet illustrateur sur son site.

C'est ma vrai couverture ;-)

La meilleure surprise de ce roman fut le prix Bob Morane. Qu'est-ce que je me trouvais nouille devant les journalistes, une horreur ! Surprise, émotion, mal à l'aise, fierté, tout y est passé pour cette première fois. La conférence de presse fut stressante à souhait.

Ouh ! les joues rouges ! Dédicacée par Henri Vernes en plus

Autres auteurs de l'anthologie

David Calvo : La Nuit des labyrinthes
Fabrice Colin : Forgiven
Isabelle Collet : Yèrne
Nathalie Dau : Contre-Magie
Mathieu Gaborit : Songe ophidien
Laurent Genefort : Novinia
Pierre Grimbert : Elfine
Laurent Kloetzer : Mademoiselle Belle
Roland Wagner : Pour une poignée de cailloux
Érik Wietzel : Bien-Être, Travail Envié